Jean-Philippe Omotunde

Diplômé de l’Ecole de Publicité de Paris

Nom de l'Oeuvre : Les origines africaines de l'Europe ( PELAGIA).

Un sage au service de l’histoire africaine avec un grand A, parti trop tôt le 22 novembre 2022.

Originaire de la Guadeloupe, il a été formé à l’analyse historiographique par l’école Diopienne à Paris. Il est Co-fondateur du site Africamaat.com. Depuis 2010, en collaboration avec l’association Menaibuc Caraïbes, il enseigne les Humanités Classiques Africaines Caraïbes à l’Institut Per Ankh en Martinique (France).

« L’origine négro-africaine du savoir grec » aux éditions Nénaibuc

Attention ! Voilà sans doute un ouvrage qui risque de modifier considérablement votre histoire de l’Afrique. En effet, l’approche européocentriste de l’histoire de l’humanité, appelée communément le « Le Modèle Aryen » par certains chercheurs objectifs, fait de la Grèce l’épicentre de la pensée scientifique et philosophique dans l’Antiquité. Cependant, le témoignage des anciens dévoile qu’à l’origine, les Grecs ne disposaient d’aucune annale relative à l’observation de faits historiques, scientifiques ou astrologiques. Pourtant, la collecte de données diverses fut la condition essentielle de l’éclosion des grandes civilisations égyptiennes ou mésopotamiennes. Que s’est-il passé pour la Grèce ? L’examen des sources grecques ne permet pas de valider la thèse «européocentre» défendue par le « Modèle Aryen ». Pire encore, en désignant le monde négro-africain comme la véritable source de leur savoir et de leur initiation sur les voies de la civilisation, les plus grands savants grecs (Thalès, Pythagore, Hérodoté, Aristode, Platon, Diodore de Sicile) apparaissent comme les vrais premiers «afrocentristes» de l’histoire de l’humanité. Comment expliquer la présence de 25 % de mots africains dans le vocabulaire grec ? Comment expliquer les similitudes parfaites entre les textes grecs et les papyrus scientifiques de l’Égypte antique ?

Part 1. Audio.



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